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Je m’appelle Iris de Richemont, j’habite à Paris depuis maintenant plus de dix ans. J’ai endossé le rôle de Parisienne, mais je reste profondément attachée à ma douceur angevine.
Cela fait plus de huit ans que je travaille en tant que productrice / agent dans le milieu de la mode.
J’ai collaboré avec des Maisons telles que Chanel et Chloé, mais aussi avec des agences de représentation d’artistes – photographes, stylistes, directeurs artistiques – comme Art Partner.
Pour résumer un peu mon métier : je suis responsable de la préproduction, de la production et de la postproduction de campagnes publicitaires et de défilés de mode, ainsi que de la coordination de tous les artistes qui y participent.
Je me suis récemment lancée en freelance et je continue d’aimer mon métier, peut-être même encore plus, car il se réinvente chaque jour.
Je suis également maman d’une petite fille de bientôt trois ans, qui fait notre plus grand bonheur.
La mode, et plus encore la production, n’est pas un métier de tout repos. On ne compte plus le nombre de Fashion Weeks, d’événements ou de shootings photo… Le tout rythmé par une véritable boulimie de contenu exigée par les marques pour rester toujours plus compétitives.
Je n’ai jamais compté mes heures, mes soirées ou mes week-ends, jusqu’au jour où j’ai appris que j’attendais un enfant.
Mes journées ne se ressemblent jamais : les clients sont tous très différents, les artistes aussi. Un shooting peut avoir lieu à l’étranger comme en studio à Paris. Un moment calme peut se transformer en tempête si un avion est raté ou un shooting annulé.
Cependant, j’ai une règle : le moment du soir est un moment privilégié, essentiel pour me retrouver avec ma fille après sa journée d’école. Je me force à poser mon téléphone et à être 100 % présente avec elle.
Je n’ai jamais vu cela comme un “tunnel du soir”. Au contraire, c’est un moment qui me permet de me reconnecter avec la réalité de ma vie de maman que j’aime tant.
Je porte autour de mon cou une délicate petite médaille marquée de la lettre M.M, comme Maxime, ma fille.Lorsque je l’ai choisie, j’ai tout de suite ressenti l’envie d’en faire un bijou d’héritage, une passation. Aujourd’hui, elle ne quitte presque jamais mon cou et, je l’espère, ne quittera pas le sien le jour où elle aura l’âge de la porter.
J’aime porter ma médaille avec une chemise blanche, un jean brut bleu et ma paire de santiags.
J’aime mes bijoux avec un luxe discret, une histoire, une signification.
Trois de mes bijoux ne me quittent jamais : la bague que mon amoureux m’a offerte à la naissance de notre fille, mon intaille de famille, et ma médaille alphabet '' M '' Poinçon 22.
Je n’ai jamais été très bracelet, et pourtant, lorsque j’ai essayé le bracelet Rivière Mini Marguerite Poinçon 22, le coup de foudre a été immédiat.
J’aime le fait que les bijoux Poinçon 22 soient intemporels.Loin des phénomènes de tendance et des pièces de mode éphémères, le bijou Poinçon 22 se transmet. Je les porte, je pourrai les porter indéfiniment, et j’espère que ma fille aimera les porter à son tour.
Authenticité – Élégance – Héritage
